Le ciel de Bay City

1960. Cette année-là, une maison de tôle est livrée au bout de Veronica Lane à Bay City. Une famille s’y installe. Deux soeurs, Denise et Babette, vont donner tour à tour naissance à de petits Américains. Elles ont quitté l’Europe et la dévastation de la guerre pour l’Amérique. L’avenir paraît alors appartenir à ce continent où tout est plus gai, plus neuf.
Mais l’Histoire ne se laisse pas mettre de côté. Amy, la fille de Denise, est hantée par les morts et va faire une étrange découverte dans le sous-sol de la petite maison de tôle.
Roman puissant, traversé par la soif de l’Amérique et la volonté désespérée d’en finir avec le passé, Le ciel de Bay City dresse un réquisitoire contre l’indifférence du ciel à l’endroit de notre souffrance.

Prix des collégiens 2009
Prix des libraires 2009
Grand prix du livre de Montréal

9782923511122

294 p.

19/09/08

Catherine Mavrikakis

Catherine Mavrikakis a publié de nombreux romans, dont La ballade d’Ali Baba, Les derniers jours de Smokey Nelson, Le ciel de Bay City, Oscar De Profundis et L’Annexe. Elle est l’autrice d’un oratorio, Omaha Beach, et d’un récit sur sa mère, L’absente de tous bouquets. Sa plus récente fiction parue s’intitule Impromptu. Elle écrit aussi des essais, parmi lesquels Diamanda Galás. Guerrière et gorgone et L’éternité en accéléré.

Son œuvre, traduite en plusieurs langues, a été maintes fois récompensée (notamment par le Prix des collégiens, le Prix des libraires et le Grand Prix du livre de Montréal).

Photo : Julia Marois

revue de presse

Kathleen Evin

France Inter

Une écriture haletante, violente, pleine de bruit et de fureur.

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Martine-Emmanuelle Lapointe

Voix et images

Les romans de Catherine Mavrikakis ne laissent pas indemne. Au-delà de la violence et de la rage qu’ils contiennent, c’est leur léger décrochage par rapport au réel, si léger qu’il en devient trompeur, qui happe et repousse le lecteur, le laissant dans une zone indécise où l’inconfort domine.

Pierre Cayouette

L'Actualité

Catherine Mavrikakis est l’une des 35 nouvelles voix qui secouent la littérature québécoise aujourd’hui!

Anne Crignon

Le Nouvel Obs

Beaucoup d’émotion aussi autour du livre de la Canadienne Catherine Mavrikakis: Le ciel de Bay City. Toute l’histoire des émigrés aux États-Unis se trouve revisitée à travers la tentative d’une adolescente, qui éprouve physiquement la présence de fantômes (comme ceux de ses grands-parents, cachés dans un cagibi, auprès desquels elle vient parfois s’endormir), d’en finir avec le passé.

Martine Laval

Telerama

Psalmodié avec fureur, construit comme un labyrinthe pernicieux (…) Le ciel de Bay City, fiction qui ne craint l’horreur ni la beauté, ni l’indécence ni la douceur, est le roman de l’indicible enfin écrit.

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Salomé Kiner

Horizons lointains: Québec, Arte

Le ciel de Bay City est un roman puissant, un roman qui combat. À la fois en lutte contre le déterminisme socio-familial et historique et contre les facilités d’un langage qui finit par ne plus rien dire. Catherine Mavrikakis dérange, bouscule, révèle: ce qu’on ose à peine imaginer, sa narratrice le scande. Ses phrases sont obsédantes et abruptes.

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Valérie Lessard

Le Droit

Percutant, pertinent, déstabilisant!

Yasmine Berthou

Le Devoir

Une œuvre véritable se construit.

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Marie-Claude Fortin

La Presse

Ce roman, plein de fureur, est un feu d’artifice dans un ciel noir. Une bombe. Sa forme étrange, son odeur d’essence, sa langue provocante, en font une œuvre fascinante dont on sort secoué, courbaturé, épuisé, mais franchement ébloui.

Christine Ferniot

Télérama.fr

Que faire de son héritage familial, comment sortir de ses traumatismes pour ne pas les transmettre à son tour? Voici l’interrogation centrale de ce roman cruel écrit avec une fausse désinvolture qui donne encore plus de poids à une histoire hargneuse et, finalement, sentimentale.

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Ici

Dans Le ciel de Bay City, le continent nord-américain reçoit sa dose d’espoirs mort-nés, dopés à l’adrénaline des visions envahissantes d’une Histoire que l’on tente tant bien que mal de réécrire.

Ici

Un roman d’une dureté exemplaire, au souffle cassant et métallique.

Yasmine Berthou

Le Devoir

Une œuvre exigeante qui traverse les époques a fait chavirer le cœur des collégiens du Québec. Hier, à l’occasion de la remise du septième Prix littéraire des collégiens au Salon international du livre de Québec, ils ont couronné Catherine Mavrikakis.

Voir

Un roman grave, diaboliquement lucide, qui poursuit le cycle sur les États-Unis amorcé le printemps dernier avec Omaha Beach.

Julie Laferrière

Club Social, TV5

Un roman exceptionnel!

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Top 10 des romans québécois

La Presse

Avec Le ciel de Bay City, roman flamboyant qui ne cesse de renaître des cendres dont il s’inspire, l’écrivaine Catherine Mavrikakis, longtemps confinée dans la marge, accède au grand public, qui devait bien la connaître un jour.

Bernard Fauconnier

Le Magazine littéraire

Le ciel de Bay City est un roman d’une force peu commune. Tout y est symbole, métaphore, plongée dans les méandres d’une mémoire fantasmatique, alors même que le récit s’ancre dans une réalité décrite d’une plume féroce. Cette histoire de la terre et du ciel, ce « roman américain », est une véritable révélation.

 

OVNI MAgazine

Catherine Mavrikakis s’impose petit à petit comme une figure forte, unique dans la littérature québécoise.

La jument verte

 

Ce livre est une claque!

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Un roman grave, diaboliquement lucide, qui poursuit le cycle sur les États-Unis amorcé le printemps dernier avec Omaha Beach.

Marie-Claude Fortin

La Presse

Ce roman, plein de fureur, est un feu d’artifice dans un ciel noir. Une bombe. Sa forme étrange, son odeur d’essence, sa langue provocante, en font une œuvre fascinante dont on sort secoué, courbaturé, épuisé, mais franchement ébloui.

Pierre Cayouette

L'Actualité

La parution du roman Le ciel de Bay City, de Catherine Mavrikakis, constitue à cette heure l’un des événements marquants de la rentrée littéraire au Québec. Livre-choc, livre coup-de-poing, livre audacieux: les commentateurs rivalisent d’hyperboles.

Marianne Payot

L'Express

Pénétrante métaphore sur la mémoire et l’oubli, l’Ancien et le Nouveau Monde, Le ciel de Bay City illumine cette rentrée de son ton bigarré – entre le noir et le mauve – et de ses éclairs de cruelle poésie.

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Pierre Cayouette

L'Actualité

La parution du roman Le ciel de Bay City, de Catherine Mavrikakis, constitue à cette heure l’un des événements marquants de la rentrée littéraire au Québec. Livre-choc, livre coup-de-poing, livre audacieux: les commentateurs rivalisent d’hyperboles.

Top 10 des romans québécois

La Presse

Un roman radical, à contre-courant de tout ce qui s’écrit. Un objet de métal hurlant, brûlant, coupant, que l’on ne peut s’empêcher pourtant, de tourner et retourner entre nos doigts.

Choix des libraires

Librairie du Québec

Une langue presque trop belle pour évoquer les horreurs génocidaires, d’une économie de mots et d’une maîtrise impressionnante. Bouleversant récit d’une descendante de l’holocauste condamnée à se souvenir.

Christine Ferniot

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Un passé tragique et enfoui revient en force sous la forme de cauchemars. Magnifique!

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Claudia Larochelle

Lire, ARTV

Un récit lucide et puissant sur l’héritage, la mémoire, l’identité que l’on se construit.

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Valérie Gaudreau

Le Soleil

Une certitude demeure: celle d’avoir été ébranlée par ce roman fort, qui n’est résolument pas pour les coeurs sensibles. Autre certitude aussi, celle de déplorer de n’avoir pas découvert plus tôt l’écriture sans compromis de Mavrikakis.

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Top 10 des romans québécois

La Presse

Un roman radical, à contre-courant de tout ce qui s’écrit. Un objet de métal hurlant, brûlant, coupant, que l’on ne peut s’empêcher pourtant, de tourner et retourner entre nos doigts.

Choix des libraires

Librairie du Québec

Une langue presque trop belle pour évoquer les horreurs génocidaires, d’une économie de mots et d’une maîtrise impressionnante. Bouleversant récit d’une descendante de l’holocauste condamnée à se souvenir.

Monique Roy

Châtelaine

Les livres de Catherine Mavrikakis sont des hurlements de rage et d’indignation face à la barbarie des guerres.

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Yasmine Berthou

Le Devoir

Une œuvre exigeante qui traverse les époques a fait chavirer le cœur des collégiens du Québec. Hier, à l’occasion de la remise du septième Prix littéraire des collégiens au Salon international du livre de Québec, ils ont couronné Catherine Mavrikakis.

Sandra Basch

Elle (France)

Parce qu’il mêle grande histoire et récit intime, trivialité et crime contre l’humanité, pop music et vision hallucinée de la réalité, Le ciel de Bay City est un grand roman américain. De ceux qui vous font survoler le siècle dernier à vitesse supersonique et vous laissent sonnés à l’orée du troisième millénaire.

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OVNI MAgazine

Catherine Mavrikakis s’impose petit à petit comme une figure forte, unique dans la littérature québécoise.

 

Prix des libraires du Québec 2009

Le Prix des libraires du Québec 2009 est décerné à Catherine Mavrikakis pour son roman Le ciel de Bay City pour son originalité et sa qualité littéraire.

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Anne Crignon

Le Nouvel Obs

Beaucoup d’émotion aussi autour du livre de la Canadienne Catherine Mavrikakis: Le ciel de Bay City. Toute l’histoire des émigrés aux États-Unis se trouve revisitée à travers la tentative d’une adolescente, qui éprouve physiquement la présence de fantômes (comme ceux de ses grands-parents, cachés dans un cagibi, auprès desquels elle vient parfois s’endormir), d’en finir avec le passé.

Sarrah Osama

Sous les couvertures

Une écriture qui vient des trippes – je vous le recommande COMPLÈTEMENT, c’est vraiment LE livre à lire cet automne.

Danielle Laurin

Elle (Québec)

Déroutant. Mais quel souffle!

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Martine-Emmanuelle Lapointe

Voix et images

Les romans de Catherine Mavrikakis ne laissent pas indemne. Au-delà de la violence et de la rage qu’ils contiennent, c’est leur léger décrochage par rapport au réel, si léger qu’il en devient trompeur, qui happe et repousse le lecteur, le laissant dans une zone indécise où l’inconfort domine.

Donald Servais

Prix des libraires du Québec 2009

Dorénavant il y a un morceau de ciel mauve dans le paysage de la littérature québécoise. On ne sait pas si la lumière qu’il dispense est sombre ou claire, tant il est chargé d’une profonde ambiguïté: l’orage et le beau temps y sont mêlés, le bienfait et la malédiction ne s’y distinguent plus l’un de l’autre.

La jument verte

Ce livre est une claque!

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Alexis Liebaert

Marianne

Un roman halluciné, dérangeant. Une réussite.

François Busnel

Arte/France

C’est une merveille, et vous signez la plus belle première page de la rentrée littéraire.

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Chantal Guy

La Presse

Avec Le ciel de Bay City, roman flamboyant qui ne cesse de renaître des cendres dont il s’inspire, l’écrivaine Catherine Mavrikakis, longtemps confinée dans la marge, accède au grand public, qui devait bien la connaître un jour.

Christiane Charette

Radio-Canada

Ce quatrième roman de Catherine Mavrikakis a fait la récolte des prix littéraires depuis l’automne. En plus du Prix des libraires, Le ciel de Bay City a remporté le Prix des collégiens et le Grand Prix de la ville de Montréal 2008.

 

moncoinlecture.com

Oh my. Comment parler de ce roman. Quel roman frappant, déstabilisant, qui vient nous serrer par en dedans à répétition, dès que nous croyons voir un peu d’espoir. Je l’ai lu dans un état second, complètement oppressée par ce ciel, cette vie et ces souvenirs qui hantent et qui distordent la réalité.

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Olivia de Lamberterie

Masque et la plume - France Inter

Magnifique et très très perturbant!

Valérie d'Auteuil

Bible urbaine

Il y a de ces romans poignants et vibrants qui ne laissent pas indemne…

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Christiane Charette

Radio-Canada

Ce quatrième roman de Catherine Mavrikakis a fait la récolte des prix littéraires depuis l’automne. En plus du Prix des libraires, Le ciel de Bay City a remporté le Prix des collégiens et le Grand Prix de la ville de Montréal 2008.

Olivier Mony

Sud ouest

Permanence du mal, âmes errantes et prégnance de la mémoire sont au coeur de l’impressionnant Ciel de Bay City de la Canadienne Catherine Mavrikakis, dont on doit la découverte en France à la toujours très avisée Sabine Wespieser. C’est peut-être le livre le plus surprenant de ces dernières semaines, flirtant allègrement avec le ridicule, la faute de goût, et emportant l’adhésion haut la main.

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